Après le succès (2-0) du Horoya AC sur le Wakriya AC de Boké au Stade du 28 Septembre, les deux entraîneurs Lamine NDIAYE et Guillaume SOUMAH ont dressé leur constat. Si le premier pense aux prochaines rencontres annoncées plus difficiles encore, le second continue à convoiter un ticket africain.

Lamine NDIAYE (Horoya AC) : « Toujours des rencontres âpres »

« Bon, on savait qu’on allait souffrir parce qu’il nous manquait quelques éléments. Mais les garçons qui étaient là aujourd’hui ont réussi une très bonne première mi-temps et ils ont fait la différence. On a subi, c’est vrai parce qu’on a fait entrer des gars qui ne jouent pas le plus souvent. Et forcément ils manquaient de rythme. Mais n’empêche, ils se sont bien battus.

Je pense que le plus important ce sont les trois points. Car ça nous rapproche de plus en plus du titre. En termes de discours, j’ai dit aux joueurs de jouer comme d’habitude. Car notre salut dans les matches passe toujours par le jeu. Même si par moments ça marche bien et par moments moins bien.

Nous sommes conscients que le prochain match sera plus difficile que celui-là. Puisque nos futurs adversaires cherchent à se rapprocher de nous, voire nous dépasser ou jouer une place africaine. Donc on s’attend toujours à des rencontres âpres. »

Guillaume SOUMAH (Wakriya AC) : « Encore 4 matchs à bien négocier »

« Je crois que le Horoya a profité des 15 premières minutes pour mettre les deux buts. Et ensuite ils ont continué à jouer et de notre côté, on a continué à attaquer. Et vous comprendrez qu’on a fait zéro occasion en première période.

En seconde explication, on s’est un peu réveillé à travers quelques changements. Ce qui nous a d’ailleurs permis de créer pas mal d’occasions. Mais bon, contre une grande équipe comme le Horoya avec des joueurs expérimentés, c’est très difficile de revenir au score. On va forcément tirer des enseignements, ainsi va le championnat.

Cette défaite contre le Horoya appartient déjà à la préhistoire et on va préparer une autre histoire contre le FC Séquence. Car en matière de football, tu peux bien te préparer et que ça ne passe pas. Il nous reste quatre matches désormais et c’est à nous de bien les négocier pour être parmi les clubs qui doivent représenter notre pays en campagne africaine. »

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