« Chacun sait que le sport de haut niveau se caractérise par la fourniture des gros efforts. Né en 1984, BANCE est proche de la fin de sa carrière. Et nous avons constaté ces derniers temps que le joueur avait des pépins au niveau du genou. Mais comme vous le savez à cause de la pandémie, il a fait sa retraite au Burkina et en Côte d’Ivoire, et depuis là-bas il nous a fait savoir qu’il n’était plus prêt pour jouer au Horoya AC. Parce qu’il ne pouvait plus répondre physiquement aux exigences de la haute compétition. Nous l’avons bien écouté et nous nous sommes bien compris pour une séparation à l’amiable. C’est ainsi que cela s’est passé.
Encore une fois loin de toute polémique, c’est une séparation à l’amiable selon la volonté du joueur lui-même. Mais au-delà de tout cela, laissez-mois vous dire que c’est un joueur qui a beaucoup apporté en termes d’images au sein des « rouge et blanc » de Matam. Donc nous lui sommes reconnaissants d’avoir cru en nous jusqu’à maintenant. Pour son honnêteté, nous respectons sagement sa décision… »
– Est-ce un coup dur pour le Horoya AC concernant la campagne africaine ?
« Sur le plan du terrain je dirai non. Mais sur le plan de la gestion dans le vestiaire, c’est un coup dur pour le club, au vu de son expérience et de son aura. Mais nous avons un effectif sur lequel nous pouvons compter pour cette campagne africaine.
Pour finir, je demande aux supporters du Horoya AC de rester toujours derrière le club, de galvaniser l’équipe pour les futures échéances. Encore merci à BANCE auquel nous souhaitons bon vent ».