– Quels sont vos sentiments suite à cette promotion ?
C’est un grand plaisir pour moi. C’est l’aboutissement de tout ce que j’effectue au sein du Horoya. Et je compte faire encore mieux au sein de cette catégorie du Syli national.
– Est-ce votre première « sélection » en équipe nationale ?
Non, ce n’est pas ma première fois. Certes, il est vrai que cela fait plus d’une année que je n’étais plus avec les sélections. Mais auparavant j’ai servi les Syli cadet, junior et espoirs. Avec le Syli espoirs, en 2007 en Algérie, du temps de Sékou SOMPARE comme entraîneur, on est allé jusqu’en finale face au Cameroun. Donc me retrouver avec une autre sélection du Syli, c’est une joie immense pour moi.
– Pour ceux qui ne savent pas, en quoi consiste le rôle d’un Kiné ?
C’est un travail énorme en club tout comme au sein d’une équipe nationale. C’est le kiné qui décèle les blessures. C’est lui qui fait récupérer tous les joueurs pendant, avant et après les matches. Pour vous dire, le Kiné est indispensable dans une équipe de football.
– Quelle est la différence entre le kiné d’un club et celui d’une équipe nationale ?
On travaille plus en club qu’en équipe nationale. En club, c’est un travail quotidien alors qu’en équipe nationale, c’est une activité à travers des regroupements d’une semaine ou d’un mois.
– Quelles sont vos ambitions à présent ?
C’est de continuer à travailler pour m’améliorer dans mon domaine. Et pourquoi pas, un jour servir le Syli national A. Car je suis conscient que c’est le travail qui paye.