– Parlez-nous de la séance du jour ?

A 48 heures du coup d’envoi, il faut beaucoup travailler la finition. Et vers la fin j’ai essayé de mettre un peu d’intensité dans le jeu. Et si vous avez bien remarqué, on a commencé par un jeu de carré pour vraiment mettre la machine en route. Sans oublier aussi que j’ai joué un 6 contre 6. Les jeunes doivent être fin prêts pour aborder cette compétition.

– Avez-vous une idée de l’équipe adverse ?

Aucune idée précise mais vous le savez c’est le football anglophone donc il faut faire beaucoup attention. Car ils ressortent vite le ballon. Et à partir de la ligne médiane, ils essaient de solliciter sur les côtés. Ensuite nous savons, de par le passé, que les latéraux font des dédoublements devant. Mais vous savez dans ce genre de rencontre, le premier match est très important, pour le moral et pour la suite de la compétition. Donc, il faut l’aborder dans de très bonnes conditions.

– Quelle ambiance depuis votre arrivée à Lusaka ?

Ça vit bien à l’interne depuis l’Afrique du Sud jusqu’ici. D’ailleurs ça fait longtemps que je n’ai pas eu un tel groupe. Quand vous les interpellez, ils exécutent à l’instant. La preuve en est que depuis notre arrivée à Lusaka, tous les enfants ont décidé de rendre leur téléphone pour éviter tout dérangement. Une façon de vous prouver qu’ils sont vraiment décidés à faire un bon résultat ici à Lusaka.

– Quelle est votre ambition dans cette compétition ?

L’ambition reste la même. C’est de se qualifier pour la Coupe du monde. Après cette qualification, on va se focaliser sur d’autres objectifs.

Merci coach et bonne chance !

C’est à moi de vous remercier.