Vous rentrez d’Abidjan avec quels sentiments ?
Je suis très fier d’avoir participé à ce stage, qui s’est très bien passé. J’avoue que c’était un « plus » pour nous. Cela nous a permis de faire des matchs de haut niveau avec des équipes ivoiriennes, qui nous ont permis de bien nous préparer en vu de la ligue des champions africaine. Ce stage nous a apporté une motivation supplémentaire, c’était avantageux pour le groupe.
Comment avez-vous apprécié le travail du staff technique ?
Honnêtement le staff s’est bien impliqué lors de ce stage, mentalement et physiquement, on est prêt. Nos entraîneurs ont surtout cultivé l’esprit d’équipe. Le Horoya, c’est une famille, et je pense que tout ça est bon pour l’avenir du club. Le travail effectué doit être un vecteur motivateur pour nous les joueurs cette année
Trois matchs, deux victoires et une défaite, ça vous satisfait ?
Moi je pense que c’est un très bon résultat, car si on n’était en match de poule, avec un tel bilan l’équipe serait déjà qualifiée …
Vous gardez un souvenir personnel de ce stage ?
Bon mon souvenir, c’est qu’on a bien travaillé. C’était essentiel pour rentabiliser l’investissement du président. On a beaucoup travaillé, vraiment, par la grâce de Dieu, et tout s’est bien passé. J’ai compris que je me suis pas trompé de choix , je suis au Horoya pour donner le meilleur moment de moi-même , ce qui doit me permettre de conserver ma place au sein de l’équipe nationale du Mali. C’est le vœu de tout joueur professionnel, voilà donc ce qu’on peut attendre de moi.
Un mot pour les supporteurs ?
Oui bien sûr, je vais dire aux supporteurs que le Horoya est un grand club. Et que nous allons nous battre pour obtenir des succès en championnat et en Ligue des champions. Le président est reconnu tant sur le plan continental que national, lui et son engagement pour le développement du football. Ce matin même, j’ai vu la continuité des séances d’Abidjan, cela veut dire qu’on n’a plus de temps à perdre.