Quels sont tes sentiments d’être dans le centre de formation ?
Je suis super content d’être dans l’académie d’Antonio SOUARE. Une académie qui est en train de nous aider à réaliser nos ambitions. On y apprend beaucoup de choses. Il y a un adage qui dit:  » une école de football remplace le football de la rue »…Voilà une pensée qui nous motive tous chaque jour .car elle signifie que nous avons beaucoup de chance dans notre situation

Dans ce centre quels sont les cours que vous recevez ?
A l’académie on reçoit beaucoup de choses, les cours de football, la technologie, la technique (…) Par exemple, quand on nous parle du contrôle, on comprend que le contrôle bien fait nous permet de maitriser le ballon avec l’intention de le transmettre à un partenaire ou de tirer au but.
On étudie également la conduite, le dribble, la passe, le tir. Ces détails nous aident beaucoup. A part ça, on suit des cours d’arbitrage, sur les règles du jeu, les 17 lois du football et tant d’autres choses. On se sent vraiment à l’aise contrairement à nos amis qui évoluent dans le football de la rue. Et chacun d’entre nous veut vraiment être un footballeur de demain.

A propos du footballeur de demain, quelles sont tes ambitions ?
Ah ! Oui je veux être un grand footballeur comme tous ceux qui sont dans l’Académie. Et surtout, je rêve de devenir comme le Burkinabé Dramane NIKIEMA, de l’équipe A du Horoya AC, c’est-à-dire être un jour titulaire comme milieu offensif.

Pourquoi Dramane NIKEMA ?
C’est un joueur qui m’attire beaucoup quand je le regarde en match. Non seulement, il parle peu sur le terrain, mais surtout il oriente bien le jeu de son équipe.

Qu’est-ce que tu dois faire pour atteindre ton objectif ?
D’abord pour être comme Dramane, il me faut beaucoup travailler, suivre les conseils de mes formateurs. Honnêtement nos formateurs, coach Mila et son équipe, nous transmettent le savoir. A chaque séance on fait des rappels sur les cours précédents, et ça c’est dans notre intérêt.

As-tu un mot pour le président SOUARE ?
Je remercie président Antonio d’avoir mis à notre disposition un centre de formation qu’on qualifie de « temple du savoir ». Je profite de l’occasion pour lui dire de ne pas avoir de doute : on fera grandir son centre de formation.